Attachée à ses racines africaines, Veeby se fait un devoir de raconter son histoire, de même que le récit de ses ancêtres et surtout de le transmettre aux nouvelles générations. Pour l’artiste, les combats sont importants comme la lutte contre toutes formes d’oppression, ou encore, de relié les points communs qu’on les afros descendants par la musique et l’histoire.https://www.youtube.com/watch?v=l46WUMzE3MgÀ l’écoute de cet album, j’ai été complètement hypnotisé par toute la complexité musicale du projet. Cela faisait très longtemps que je ne m’étais pas posé devant un album et prit le temps de l’écouter. Cet album est l’occasion de fuir cette hyperporductivité du single track et de se laisse renvahier par un projet complet.« Zandj c’est le nom que les Arabes donnaient aux noirs bantous qui étaient enlevés et amenés en Mésopotamie (Irak) pendant la première traite des esclavestranssaharienne. C’est aussi le nom de cette communauté qui s’est rebellée contre l’esclavage arabe pendant une quarantaine d’années avant de se rediriger vers l’ile de Zandj. » – VeebyFan de musique comme je suis, en écoutant cet album j’ai eu mille et unes références qui sont arrivés dans esprit, s’entrechoquant pour que pour le meilleur. Pour ce projet d’envergure, l’artiste s’est allié avec Fredy Massamba et Mitcheal Madner Henry à la production exécutive ainsi que David François au niveau du mix et matriçage. Cet album est un devoir de mémoire !
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